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PureCode company | Performance and Scalability
Performance and scalability are key considerations when choosing a JavaScript framework. These factors directly impact the user experience and the application’s ability to grow and handle increasing loads. React and Vue both use a virtual DOM to improve performance, which is a key factor in the development of web applications.
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Une caméra embarquée peut-elle enregistrer simultanément les vidéos avant et arrière ?
Les caméras embarquées sont le moyen idéal de garder un œil sur votre véhicule sur la route ET hors route. Ces petites caméras sont fixées au tableau de bord de votre voiture et peuvent capturer des images claires de ce qui se passe sur la route. L'une des fonctionnalités les plus demandées est une caméra embarquée qui peut enregistrer à la fois la vue avant et la vue arrière.
Dans cet article de blog, nous verrons si une caméra embarquée Momento peut enregistrer les vues avant et arrière en même temps.
Une caméra embarquée peut-elle enregistrer simultanément les vidéos avant et arrière ?
Oui ! De nombreuses caméras embarquées disposent d'une entrée vidéo supplémentaire pour connecter une caméra arrière qui peut être montée sur le pare-brise arrière. L'avantage d'avoir une seule caméra embarquée qui surveille simultanément l'avant et l'arrière est que chaque événement d'enregistrement aura deux vidéos liées : une pour la caméra avant et une pour l'arrière.
Alors que de nombreuses caméras embarquées vendent la caméra arrière séparément, les systèmes de caméras embarquées Momento incluent à la fois des caméras avant et arrière afin que vous ayez instantanément une couverture de surveillance complète autour de votre véhicule.
Cela signifie que chaque fois que la caméra de tableau de bord Momento commence à enregistrer, elle activera automatiquement les deux caméras.
Pourquoi ai-je besoin d'une caméra de tableau de bord orientée vers l'avant et vers l'arrière ?
Le principal avantage de posséder une caméra de tableau de bord est que vous disposerez de preuves vidéo en cas d'incident sur la route. Cela dit, des incidents peuvent survenir n'importe où autour de votre véhicule. Par exemple, soyez témoin de cet accrochage qui a été capturé par une caméra de tableau de bord orientée vers l'avant et vers l'arrière de Momento.
Selon la NHTSA, 28 % de tous les accidents impliquent une collision arrière. Une caméra de tableau de bord orientée uniquement vers l'avant ne parviendrait pas à capturer le moment de l'impact par l'arrière.
Cependant, avec une caméra de tableau de bord avant et arrière Momento, des détails cruciaux peuvent être enregistrés, tels que les actions du véhicule arrière menant à la collision. Ce type de preuve peut être inestimable pour prouver la faute ou l'innocence dans les réclamations d'assurance ou les procédures judiciaires.
Sans cette preuve vidéo concrète, le conducteur du camion devrait se fier à sa propre parole pour prouver son innocence. Heureusement, ils avaient installé une caméra embarquée Momento M4 pour capturer l'intégralité de l'incident en caméra !
Comment installer une caméra arrière ?
Bien que la connexion d'une caméra arrière à une caméra embarquée Momento implique généralement une seule connexion, l'acheminement correct du câble de l'arrière au pare-brise avant nécessite une installation professionnelle.
Il est essentiel d'éviter toute interférence avec des composants critiques, tels que les câbles, les airbags et les capteurs, qui sont souvent fixés dans la garniture de pavillon du véhicule.
Pour garantir une installation correcte qui préserve l'intégrité des systèmes de sécurité du véhicule, il est recommandé de se rendre chez un concessionnaire Momento agréé. Ces professionnels ont l'expertise nécessaire pour acheminer le câble en toute sécurité tout en éliminant tout risque potentiel.
Comment visionner une vidéo avant et arrière à partir d'une caméra embarquée Momento
Étant donné que les caméras embarquées Momento enregistrent simultanément la vidéo avant et arrière, les fichiers vidéo doivent être visionnés à l'aide d'un logiciel spécifique. Heureusement, Momento propose plusieurs options gratuites pour visionner, télécharger et partager votre vidéo.
Momento M6 (MD-6200) Viewer
Application pour smartphone M6 - Le M6 dispose d'une application pour smartphone gratuite pour iPhone et Android. L'application Momento sert de hub pour visualiser et éditer des fichiers vidéo, ainsi que pour configurer votre caméra embarquée M6. Vous pouvez connecter votre smartphone à votre Momento M6 en vous connectant au réseau Wi-Fi local de la caméra.
Application M6 Desktop Viewer - Le M6 dispose également d'une visionneuse de bureau pour PC et Mac. VLC Media Player - VLC est un logiciel tiers permettant de visualiser des fichiers AVI avec plusieurs canaux. Enfin, si vous ne pouvez pas accéder/télécharger ce logiciel, vous pouvez toujours extraire les fichiers vidéo directement de la carte micro-SD de votre caméra embarquée Momento
Momento M6 Viewer
Application M7 Desktop Viewer - Le M7 dispose d'une application de visualisation de bureau pour Mac et PC, qui vous permet de regarder jusqu'à trois canaux de vidéo simultanément. VLC Media Player - VLC est un logiciel tiers permettant de visualiser des fichiers AVI avec plusieurs canaux.
Enfin, si vous ne pouvez pas accéder à ce logiciel/le télécharger, vous pouvez toujours récupérer les fichiers vidéo directement à partir de la carte micro-SD de votre caméra embarquée Momento. Voir aussi „Caméra embarquée DVR rétroviseur»
Comment acheter une caméra embarquée Momento
En conclusion, si vous recherchez une caméra embarquée capable d'enregistrer à la fois les vues avant et arrière, les caméras embarquées Momento sont un choix idéal. Grâce à leur technologie avancée, vous pouvez enregistrer les deux vues sans avoir à basculer entre les caméras. De plus, l'objectif grand angle vous garantit une vue claire de ce qui se passe sur la route. Les caméras embarquées Momento peuvent être achetées et installées exclusivement chez les revendeurs agréés dans notre localisateur de revendeurs. En visitant un revendeur agréé, vous vous
#Application M7 Desktop Viewer#enregistrer les deux vues#réseau Wi-Fi#l'objectif grand angle#caméra de tableau de bord
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As we move further into the digital age, frontend development continues to evolve rapidly, driven by the increasing demand for dynamic, high-performance, and user-friendly web applications. In 2024, several frontend development frameworks are set to dominate the landscape, each bringing unique capabilities and benefits to the table. This article will delve into the top frontend frameworks to watch in 2024, with a particular focus on Next.js, React, Vue, and others that are shaping the future of web development.
For more details, visits Ahex Technologies.
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#Custom Vue.js Application Development#Vue.js Development Agency#vue web development#vue app development#vuejs web development services
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Angular vs. React vs. Vue: Which Framework Dominates in 2024?

In 2024, the battle of JavaScript frameworks continues to be dominated by Angular vs. React vs. Vue, each bringing unique strengths to front-end development. Angular, backed by Google, remains a powerhouse with its comprehensive feature set and strong enterprise support. It excels in complex, large-scale applications requiring robust architecture and TypeScript integration.
React, maintained by Facebook, retains its popularity for its flexibility and virtual DOM efficiency, making it ideal for building interactive user interfaces. Its vast ecosystem and component-based structure empower developers to create scalable applications swiftly.
Meanwhile, Vue.js, known for its simplicity and ease of integration, has steadily gained ground with its progressive framework approach. It appeals to developers seeking a lightweight yet powerful solution for building modern UIs and single-page applications.
The decision between Angular, React, and Vue hinges primarily on the specific project demands, the proficiency of the team, and the scalability requirements. While Angular suits enterprise-grade applications, React’s flexibility caters well to diverse project scopes, and Vue’s simplicity attracts startups and small teams aiming for rapid development. In 2024, these three remain the cornerstone choices in the ever-evolving landscape of front-end development.
#Angular vs. React vs. Vue#reactjs#softwaredevelopmentcompany#appdevelopment#custom application development company
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At Sigma Solve, we are dedicated to providing exceptional VueJS development services that elevate your web experience. Our team of skilled VueJS experts leverages the power of this progressive JavaScript framework to create fast, interactive, and highly responsive web applications. With our expertise in application development and commitment to client satisfaction, we deliver customized solutions that meet your unique business needs.
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update to my roadmap of learning https://www.tumblr.com/akaicodes/744920785897111552/roadmap-of-learning-curriculum-related-so-far - 4 months later ♡
• C# - spent ~1 year so far practicing, more comfortable, can build whole sites/programs with little help
• HTML & CSS - started ~5 months ago, confident in both, can style a site without help online, still much to learn
• JavaScript + Vue - Axios - can build “full stack” applications where i do both backend & frontend and host online (love JS!!)
• REST - experienced for 5 months! can build my own REST API, use someone elses with axios & test it thoughoutly with Postman (+Javascript code)
• Unit testing & UI testing - learned so many better ways to unit test & UI test more indeph
• Started leaning Git more with commands
• SQL - can manipulate simple databases and more one from scratch
& huge thanks to my sister @niyacodes for being on this journey with me 💓
++++ I went to a 5 hour exam for all these subjects (+- more) and got the highest grade possible 🥹 (i failed my first programming exam in 1st sem!!!!) ((pic is my favorite after study-snack))

#programming#studying#studyblr#coding#cs student#exam season#100 days of productivity#codeblr#csharp#c
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Lore.FM, ou pourquoi créer un "Audible pour Archive of Our Own" n'est pas une bonne idée
Ce blog n'a pas l'habitude de couvrir des sujets d'actualité, mais qui sait, peut-être le devrait-il. Du fait du caractère récent des évènements dont je vais parler ici, je ne peux pas espérer atteindre le niveau de détachement et d'objectivité que je tente d'avoir dans mes autres posts, donc je vous invite à vous renseigner de votre propre côté. Je ferai de mon mieux pour ajouter des sources à ce post dans un avenir proche.
Que se passe-t-il ?
Lore.FM est un projet d'application mobile et de site web qui vise à produire des versions audio de fanfictions publiées sur le site Archive of Our Own. La créatrice du projet est particulièrement active sur Tiktok, où elle décrit le projet comme un "Audible pour Ao3". Le projet affirme avoir été créé dans une optique d'accessibilité pour les personnes malvoyantes ou celles qui préfères les formats audio. U
Il y a pourtant quelques gros, GROS problèmes inhérents à ce projet.
Le consentement des auteur.ices dont les fanfictions seraient importées sur lore.fm ne semble pas être un facteur pris en compte. C'est pour moi le plus gros problème de ce projet, qui semble destiner à faire du profit sur le travail d'autres personnes, et ce sans leur accord.
Du fait que leur travail se trouverait sur une application séparée d'Ao3, les auteur.ices ne seraient pas en mesure de recevoir des retours sur leur travail. Ni commentaires, ni bookmarks, ni kudos, pas même une simple vue.
D'après les propos de la créatrice, il serait possible de demander de faire retirer sa fic... en donnant des informations personnelles afin de prouver que l'on en est bien propriétaire, dont votre adresse, numéro de téléphone et adresse mail.
Je ne crois pas devoir expliquer pourquoi donner des informations de ce genre à des gens qui, on l'a établi, ne semblent pas se soucier du consentement d'autrui.
Quid des auteur.ices décédé.es ? Quid des personnes ayant cessé d'utiliser Ao3 ? Quid de celles qui fréquentent peu les réseaux sociaux, et pourraient ne pas avoir vu passer l'information ? Comment feront ces personnes pour défendre leur travail ?
Ce procédé est malhonnête et irrespectueux. Ce n'est pas un projet au service de la communauté, puisqu'il ne profite pas aux auteur.ices.
Un deuxième axe qu'il me semble important de mentionner est le fait que le logiciel qui transformerait le texte des fics en média audio incorpore certainement de l'intelligence artificielle partiellement ou totalement. La créatrice affirme le contraire, mais de sérieux doutes ont été émis à ce sujet.
Dans une communauté qui tourne autour de la volonté des fans à créer de leur propres mains, je ne pense pas que l'IA mérite notre attention.
Que faire ?
Tout d'abord, ne pas paniquer. Il ne sert à rien de courir supprimer toutes ses fics et de s'enfermer dans une caverne tel un ermite parce le monde est trop décevant. Ce projet, même s'il est d'une éthique douteuse, reste un simple projet, qui n'a pas encore été matérialisé.
Si vous avez peur que vos fics se retrouvent sur cette application, il existe un moyen de défense : Verrouillez vos fics. Elles ne seront plus accessibles qu'aux utilisateur.ices possédant un compte Ao3, ce qui réduit grandement le risque que vos fanfictions soient collectées par des bots, ce qui sera probablement la méthode de collecte de ce projet.
(Si vous souhaitez un tutoriel à ce sujet, n'hésitez pas à envoyer un message ou une question à ce blog)
Si vous tenez à supprimer vos fics, assurez-vous d'en garder une sauvegarde. Rien ne vous interdit de le reposter à un moment plus propice, et il serait dommage de priver le monde de tant de belles œuvres.
Si l'idée de fanfictions audio vous tente et que vous souhaiteriez en faire l'expérience de manière éthique, je vous encourage à vous pencher sur le travail de la communauté des podficcers, des fans qui se spécialisent dans l'enregistrement de version audio de fanfics, avec le consentement des auteur.ices. Vous pouvez les trouver sur Ao3 via le tag Podfic et sur Tumblr sous le tag du même nom.
Portez-vous bien, et à bientôt pour des sujets plus agréables !
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Chopé par les flics en flagrant délit d'achat de drogue dure à un mineur dans une bouche de métro le député LFI de Nantes Andy Kerbrat a financé ses achats de drogue de synthèse en vogue dans les milieux festifs de la capitale et souvent associée au chemsex avec l'argent du contribuable. Selon une enquête approfondie de Mediapart, Andy Kerbrat a effectué des retraits en espèces d’un montant total dépassant 13 000 euros en 2023, souvent en pleine nuit. Ces fonds provenaient de son compte d’avance de frais de mandat (AFM), une enveloppe de 4 700 euros mensuels destinée à couvrir ses frais professionnels. L’élu aurait également transféré des sommes importantes sur son compte personnel, pour un total de 25 000 euros, en utilisant des applications comme Paypal et Lydia. Son absentéisme à l’Assemblée nationale a bien entendu été remarqué mais si l'on en croit leurs "protestations" sans que ses collègues en ait été offusqués.
Depuis sa garde à vue, notre chochotte LGBT est en arrêt maladie et émarge donc à la Sécu! Ben voyons! Y a pas de petits profits....!! Et ces "couillons de français" sont si généreux....!
Félicitations aux 34 341 imbéciles qui l'ont élu dès le 1° tour en juillet 2024.
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Ce n’est pas grand-chose: juste une cuve de fonte, ou de tout autre métal réfractaire, couverte d’une grille et montée sur quatre pieds (du moins dans son expression la plus simple). Il en existe des versions plus sophistiquées, mais le principe demeure le même pour ce compagnon des vacances et de la convivialité estivale. Les braises contenues dans la cuve cuiront au choix saucisses, sardines, pièces de viande ou crustacés. Vous l’avez tous reconnu, il s’agit de notre vieil ami le barbecue. C’est tout un art, le barbecue. Son allumage nécessite à lui seul un savoir-faire subtil: il faut savoir disposer le charbon de bois et l’allume-barbecue (naturel ou fourni par le supermarché local) afin d’obtenir un lit de braises homogène. Ensuite, il faudra mettre le gril à la hauteur adéquate afin d’obtenir la bonne chaleur et d’éviter le contact éventuel des flammes. Le reste ne sera plus qu’une affaire de gout. Le barbecue est une affaire d’homme. On voit rarement les femmes attiser la braise ou retourner la viande. Elles apporteront les victuailles, prépareront au besoin la marinade, viendront tenir compagnie à l’officiant, mais le feu semble rester en dehors de leur domaine. Faudrait-il y voir une application du principe chinois "Yang" (le feu, l’homme, le chaud, le soleil) opposé au "Yin" (l’eau, la femme, le froid, la lune)? La question mérite d’autant plus d’être posée que le barbecue, pour l’essentiel, sert à griller de la viande, autre élément clairement Yang. Cette masculinité peut être mise en relation avec une autre caractéristique: le barbecue, comme le méchoui, est fondamentalement une cuisine du dehors. Là encore, on retrouve l’opposition entre Yang et Yin, entre extérieur et intérieur. Il ne s’agit plus du foyer autour duquel se structure la maison. Le feu n’est plus caché, il se montre, il invite. Car le barbecue, on l’a vu, est aussi convivial. Il casse la routine du repas habituel. Participer à un barbecue, c’est participer à une fête. Il faut être relativement nombreux pour que le barbecue en vaille la peine. On ne fait pas un barbecue pour deux personnes. Cela vient d’ailleurs de loin, d’aussi loin que le mot, attesté en anglais dès le XVII siècle, et qui, à l’origine, désigne, chez certains peuples caraïbes, une claie de bois pour griller ou fumer la viande. Plus tard, il accompagnera gauchos argentins, vaqueros mexicains et leur équivalent américain. Le cowboy solitaire et loin de son foyer peut se contenter d’un modeste feu de camp où il cuira sa saucisse et ses haricots dans une poêle, mais ses collègues réunis pour convoyer un troupeau sauront organiser leur barbecue rudimentaire. Quelque part, en dégustant cette viande que nous avons vue griller, nous nous prenons nous aussi pour des hommes (ou des femmes) de la pampa ou des grands espaces. Il y a d’ailleurs quelque chose de particulier dans cette convivialité. Le barbecue n’est pas seulement collectif, il est véritablement tribal. Il ne s’agit plus seulement de la famille élargie ou d’un groupe d’amis. Réunis autour d’un mode de cuisson sinon archaïque, du moins archaïsant (le contact direct avec le feu de l’aliment cru), les convives, le temps du banquet retrouvent les fonctions primitives de la tribu, à commencer par les responsables du feu. Le barbecue fait penser au festin rituel qui clôt chaque aventure d’Astérix. Ses braises réveillent en nous une étrange nostalgie, celle des anciennes solidarités que le monde moderne a fait voler en éclats. C’est sans doute l’une des raisons, ou peut-être la raison pour laquelle le barbecue est universel. Sous des noms différents, on le retrouve aussi bien en Russie qu’en Afrique du Sud. Au Texas, il appartient à l’identité locale. Partout, du reste, on le définit plus comme un véritable art de vivre que comme une simple spécialité culinaire. Mais cette convivialité provoque aussi l’hostilité de quelques hygiénistes sourcilleux qui commencent à trouver plein de défauts et de dangers à notre barbecue.
De leur coté, les industriels s’acharnent à le moderniser en substituant au charbon de bois l’électricité ou le gaz, plus sanitairement corrects… et moins salissants. Et si le vrai barbecue était finalement un symbole de résistance ?
Jean-Michel Diard dans Minute.
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Pourquoi que la gauche ou l'extrême droite gagne tu hais la France ? Si ça fait pas varier ton point de vue et que t'es en colère de toute façon quel intérêt ?
Parce que rien n’est joué. C’est pas parce que la gauche est mieux que l’extrême droite et que la vie est mieux sous la gauche que sous la droite qu’on va juste effacer l’histoire de suprématie blanche du pays ni le racisme du pays. Surtout que la gauche n’a pas eu la majorité absolue donc une bonne partie du programme risque de ne pas être applicable.
Ce que ça change avec une victoire de la gauche c’est qu’il y a moyen de réparer le pays et de tout arranger si on arrête pas de se battre sous prétexte que la gauche a la majorité. Sous la gauche y’a moyen de rendre la France appréciable et d’en faire le grand pays des Droits de l’Homme qu’elle prétend être. Une victoire de la droite aurait juste continué à plonger le pays dans la haine sans possibilité de retour en arrière.
Donc je n’ai pas exactement la même vision que la France soit sous la gauche ou sous la droite comme tu sembles le penser. C’est juste que pour moi ça s’arrête pas aux élections. Et au passage j’ai pas dit que je détestais la France peu importe le résultat j’ai dit que si je me réveillais dans une France officiellement fascist je détesterai la Suisse et la Belgique tout autant pour m’avoir fait espérer.
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what do you do for work
I'm a frontend developer! :) web applications usually have two major parts: the backend and the frontend. the backend interacts with the database and handles other stuff behind the scenes, whereas the frontend is about what the user sees and interacts with on the page. I write on javascript with vue (a framework for javascript)
javascript is a cursed language but it turned out to be better than I expected
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Instagram’s Threads est une application de conversation basée sur le texte qui a été lancée le 5 juillet 2023. À première vue, le fonctionnement de Threads ressemble beaucoup à celui de Twitter. Les deux plateformes proposent en effet un feed de messages textuels permettant aux utilisateurs de suivre l’actualité mondiale et d’entamer leurs propres conversations.
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🇫🇷 Debout devant la cheminée était un homme de moyenne taille, à la mine haute et fière, aux yeux perçants, au front large, à la figure amaigrie qu’allongeait encore une royale surmontée d’une paire de moustaches. Quoique cet homme eût trente-six à trente-sept ans à peine, cheveux, moustache et royale s’en allaient grisonnant. Cet homme, moins l’épée, avait toute la mine d’un homme de guerre, et ses bottes de buffle encore légèrement couvertes de poussière indiquaient qu’il avait monté à cheval dans la journée.
Cet homme, c’était Armand-Jean Duplessis, cardinal de Richelieu, non point tel qu’on nous le représente, cassé comme un vieillard, souffrant comme un martyr, le corps brisé, la voix éteinte, enterré dans un grand fauteuil comme dans une tombe anticipée, ne vivant plus que par la force de son génie, et ne soutenant plus la lutte avec l’Europe que par l’éternelle application de sa pensée, mais tel qu’il était réellement à cette époque, c’est-à-dire adroit et galant cavalier, faible de corps déjà, mais soutenu par cette puissance morale qui a fait de lui un des hommes les plus extraordinaires qui aient existé ; se préparant enfin, après avoir soutenu le duc de Nevers dans son duché de Mantoue, après avoir pris Nîmes, Castres et Uzès, à chasser les Anglais de l’île de Ré et à faire le siège de La Rochelle.
À la première vue, rien ne dénotait donc le cardinal, et il était impossible à ceux-là qui ne connaissaient point son visage de deviner devant qui ils se trouvaient.
Standing before the chimney was a man of middle height, of a haughty, proud mien; with piercing eyes, a large brow, and a thin face, which was made still longer by a royal (or imperial, as it is now called), surmounted by a pair of mustaches. Although this man was scarcely thirty-six or thirty-seven years of age, hair, mustaches, and royal, all began to be gray. This man, except a sword, had all the appearance of a soldier; and his buff boots still slightly covered with dust, indicated that he had been on horseback in the course of the day.
This man was Armand-Jean Duplessis, Cardinal de Richelieu; not such as he is now represented—broken down like an old man, suffering like a martyr, his body bent, his voice failing, buried in a large armchair as in an anticipated tomb; no longer living but by the strength of his genius, and no longer maintaining the struggle with Europe but by the eternal application of his thoughts—but such as he really was at this period; that is to say, an active and gallant cavalier, already weak of body, but sustained by that moral power which made of him one of the most extraordinary men that ever lived, preparing, after having supported the Duc de Nevers in his duchy of Mantua, after having taken Nimes, Castres, and Uzes, to drive the English from the Isle of Re and lay siege to La Rochelle.
At first sight, nothing denoted the cardinal; and it was impossible for those who did not know his face to guess in whose presence they were.
— Alexandre Dumas père and Auguste Maquet, Les Trois Mousquetaires [Ch. 14]
#LET’S FUCKING GOOOOO#literature#french literature#alexandre dumas père#auguste maquet#les trois mousquetaires#cardinal de richelieu
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" Couldn't Move On And Forget About You "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Jason Todd
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Cela faisait bientôt un an que Jason avait disparu. Il était mort. Il était mort depuis bientôt un an et j'avais enfin réussi à aller de l'avant, j'avais tourné la page, il n'était plus que le cauchemar qui hantait mes nuits lorsque je fermais mes yeux. Et cette journée était supposée être parfaite. Mais je ne comprenais pas, je n'arrivais pas à comprendre pourquoi je le revoyais. Cette fois-ci, il était bel et bien réel.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : exes to lovers, arme à feu présente, hurt/comfort
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟒,𝟖𝟒𝟎
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33


Une fraîcheur mortelle régnait dans l'appartement. Elle en était glaciale. L'obscurité dans laquelle étaient plongées toutes les pièces du lieu n'aidait pas. Le tout était peu accueillant, presque menaçant. Tout ce noir installé dans les quatre recoins du lieu se traduisait par un mauvais présage, tel un danger imminent incapable à repousser, implanté ici et là, prêt à tout détruire sur son passage et à tout entraîner dans sa chute. Seules les lumières de la ville parvenaient un tant soit peu à éclairer le tout, que ce soit par des hélicoptères, des panneaux publicitaires sur d'immenses buildings ou les phares de voitures. Elles étaient projetées sur les murs du gigantesque salon ᅳles baies vitrées non couvertes par les épais et lourds rideaux, laissant donc tout type de lumière y pénétrerᅳ ainsi que sur le côté de plusieurs meubles. Ce ne fut alors, qu'avec ces maigres lueurs, que la jeune femme put se repérer dans le lieu, et éviter de percuter, et briser, ses précieux biens.
Elle passait entre le canapé d'un cuir de couleur ensanglanté et les tabourets rangés devant le plan de travail de la cuisine ᅳouverte, d'un style américainᅳ. Elle manquait de heurter un vase Chinois, à cause des imposants bords de sa robe, malgré le fait qu'elle en tenait déjà une épaisse quantité dans ses pauvres mains tremblantes. Le vase tremblait, tournait sur lui-même, et au moment même où il manqua de s'effondrer au sol, il fut saisi par la jolie paire de mains de la demoiselle. Celles-ci recouvertes d'une époustouflante paire de gants blanc en dentelle.
« Merde, désolée. » elle articula difficilement, entre deux sanglots et avec le nez bouché.
Elle reposait l'objet à sa place, et continuait sa marche en direction du centre du salon. Elle forçait sa traîne à suivre le pas, sur ses immenses talons aiguilles ouverts sur ses orteils et la vue troublée par son voile rabattu sur les traits tiraillés de son sublime visage, ainsi que par ses larmes. Elle avait les lèvres qui tremblaient, les joues tachées par deux lignes noirâtre, partant de ses cils jusqu'à sa mâchoire. Son mascaras avait été incapable de survivre à cette journée, tout comme elle. Et un mal de crâne lui martelait le cerveau, d'une violence criminelle.
La jeune femme déposait sa pochette d'un cuir blanchâtre sur une commode boisée proche de la grande baie vitrée dans le salon. Rapidement, elle y plongea ses doigts et en extirpait son cellulaire. De ses fins doigts habillés, elle débloqua l'écran de verrouillage et sélectionna l'icône "message" parmi toutes ses applications. Elle était celle qui contenait le plus de notifications, une bonne centaine de messages avaient été reçu dans le petit objet, provenant non seulement de sa famille, mais aussi de ses amis les plus proches, jusqu'à des collègues et vielles connaissances. La demoiselle remarquait immédiatement le numéro d'un contact en particulier, qui attirait son attention. Dick Grayson. La conversation entre elle et le jeune homme se trouvait en première place, signe qu'il était le dernier à avoir pris le temps de lui écrire. Dick lui avait envoyé un message il y avait une demie-heure, depuis le début de soirée; il en avait envoyé une vingtaine.
La jeune femme soupira. Elle faisait rapidement passer son voile en dentelle au dessus de sa tête, dévoilant ainsi les traits somptueux de son visage tachés par un maquillage ruiné par ses larmes. Elle cliqua sur sa conversation avec le noiraud de son pouce, poussant au même moment un soupir hésitant. Son cœur s'emballait légèrement alors qu'elle sentait soudainement un poids s'accrochant à ses épaules. Les remords s'emparaient enfin d'elle.
« Je vais passer à ton appartement. » était-il écrit. « J'ai juste besoin de savoir que tu vas bien. Tout le monde est inquiet pour toi. »
La jeune femme essuyait grossièrement une flopée de grosses larmes à l'aide de sa paume de main. Elle avait les yeux ronds comme des billes, trempés exagérément et la bouche tordue en une moue poignante.
« J'ai tout gâché. Je suis désolée. » répondit-elle au garçon.
Du tac au tac, Grayson lui avait envoyé un message. Le petit bruit signalant l'arrivée d'une notification prenait de surprise la jeune femme, elle en hoquetait et en sursautait bêtement.
« Tu as fait ce que tu jugeais le mieux pour toi, tu n'as pas à te sentir mal pour ça. »
« Je n'arrive pas à l'oublier. » elle écrivait en retour. « Je ne peux pas en épouser un autre que lui. Je ne peux pas en aimer un autre que lui. »
Dick ne répondait pas. Il restait muet, incapable de taper une quelconque réponse ; la demoiselle le compris immédiatement, voilà pourquoi elle quittait brusquement la conversation et fermait les yeux. Elle serra son cellulaire entre ses doigts, elle le fit violemment, le corps secoué par des sanglots douloureux.
Lorsqu'elle rouvrit finalement les yeux, ce fut à cause du bruit d'une nouvelle notification. Elle avait attiré son attention. La jeune femme passa alors de nouveau la paume de sa main sur son visage ᅳle gant était désormais noirᅳ et retira le reste des larmes ayant perlé sur les traits torturés de son faciès. Ensuite, elle regarda le nom du contact qui lui avait écrit ᅳcar ce n'était pas Grayson. Wayne. C'était Bruce Wayne. Il lui avait envoyé plusieurs messages, chose étrange venant du milliardaire qui avait pourtant la réputation d'être aussi froid que la glace, aussi bavard qu'un mur de briques et méprisant qu'une brute. Ses larmes noirâtres retombaient sur le décolleté de sa robe de mariée et la tachait sans merci. Elle ne pouvait plus s'arrêter de pleurer, peu importait la conviction qu'elle y mettait, la force qu'elle insufflait en elle. Toutefois, elle rassembla la dernière once de courage présente dans ses veines, et cliqua sur le message du milliardaire.
« Passe au manoir dès que tu as besoin de quoi que ce soit. Tu seras toujours la bienvenue. »
La jeune femme émit un violent gémissement. Elle sentait sa gorge être prise de tremblements et, en réponse, elle plaqua violemment l'écran de son téléphone portable contre la surface boisée de la commode. Incapable de quitter la conversation ᅳde peur de s'attirer les foudres de Bruceᅳ et tout autant de lui répondre ᅳelle avait bien trop honte, et était bien trop énervée contre luiᅳ elle avait alors préféré fuir.
Elle se reculait, imposait une certaine distance entre son cellulaire et elle puis, soudainement, arracha son voile ainsi que le collier de perles laissé à choir proche de sa gorge. Les boules blanchâtre giclaient dans tous les sens, percutant le sol, allant se réfugier en dessous du canapé, de la commode, auprès de la baie vitrée, voire d'une lampe éteinte à quelques mètres de là. Tandis que le voile, lui, s'affaissait majestueusement au sol, sur la traîne de sa robe de mariée. Toutefois, elle ne lui laissa pas le temps de se reposer, car elle le dégageait d'un coup sec de son pied, préférant le voir au sol, contre la surface du tapis, plutôt que sur son vêtement traditionnel. Elle le toisa avec colère et menaça de le piétiner tant sa vue l'importunait. Lorsqu'elle relevait son visage en direction de l'immense salon, observant la porte menant à sa chambre à coucher, la salle de bain, son bureau, et la cuisine, elle sentit soudainement l'atmosphère se faire plus lourde. Quelque chose flottait dans l'air, enfoui dans l'obscurité qui l'avait entourée depuis le début, mais à laquelle elle n'avait pas su donner assez d'importance. Elle étouffait, haletait, transpirait à grosse gouttes, cela la rendit davantage nerveuse.
Après un instant, là où elle s'était raclée la gorge, la jeune femme déposa la paume de sa main contre sa poitrine et parla d'une voix terriblement hésitante. Elle papillonnait des yeux, avec la désagréable sensation d'être observée de tous les côtés, sous tous les angles.
« Il y a quelqu'un ? »
Un sentiment de peur se frayait en elle, mêlé à la peur et la tristesse. Elle en avait les tripes retournées et le cœur battant à vive allure. Il tambourinait fort contre sa poitrine, le bruit allant même jusqu'à se répercuter dans ses tympans. De ses pupilles tremblantes et de son regard troublé par ses pleurs, la jeune femme jetait un coup d'œil curieux au salon. Cette fois-ci, elle l'observa avec grande attention. En commençant par la cuisine, la porte d'entrée, ses côtés, et finissant par le coin bibliothèque sur sa gauche, complètement plongé dans le noir.
La jeune femme plissait les yeux. Elle avait la désagréable impression de voir une forme y voir le jour dans tout ce noir si compact, et, le temps que ses yeux s'habituent finalement à l'obscurité, elle avait déjà avancé de plusieurs pas.
Sa traîne glissait sur le tapis, elle ne prenait même pas la peine de relever les bords épais de sa robe afin d'alléger sa marche. Elle écrasait les quelques perles de son collier au sol, manquant de chuter à répétition. Elle les forçait alors à rouler, se percuter entre elles et rouler bruyamment jusqu'à rencontrer une nouvelle surface contre laquelle elles allaient de nouveau y ricocher. La jeune femme parvenait rapidement au coin bibliothèque de son appartement, habituellement composé d'une petite table ronde décorée d'une lampe verdâtre, de deux immenses bibliothèque collées contre le mur, et d'un gros fauteuil de cuir. Elle peinait à observer le tout, le noir brouillant sa vision.
Lorsqu'elle tendit la main afin d'allumer la petite lampe et d'enfin mettre le jour sur cette situation torturante, elle sursautait au contact d'un objet dur. Il était frigorifié, semblable à du métal. Au même moment, la lumière l'éclaira et ses yeux s'écarquillaient à la vue d'un parfait inconnu dans son salon. L'espace d'un instant, son coeur arrêta de battre.
« Oh mon Dieu. » elle hurla.
La demoiselle n'eut besoin que d'une chose : croiser son regard envoûtant, pour reconnaître Jason. Peu importait si les traits de son visage étaient torturés par la fatigue et sûrement la colère, peu importait si il était mutilé par une immonde lettre J sur le côté droit de sa joue, juste en dessous de son œil. C'était lui. C'était Jason. Elle ne rêvait pas, il était bel et bien là. A cette. simple constatation, elle en sentit ses tripes se tordre et son mal de crâne s'accentuer.
« Jason, c'est toi ? » balbutia-t-elle. « Je... Je rêve ? »
Pour accentuer ses propos, la demoiselle allait jusqu'à se pincer l'avant-bras. Lorsqu'elle vit Jason cligner des yeux et écarter davantage les jambes, elle manquait de s'en évanouir. Jason était étrangement vêtu, une épaisse armure sur les épaules. Il avait relevé son masque, son front lui restait tout de même invisible. Mais c'était bel et bien lui. Elle aurait pu le reconnaître entre mille.
« Je pensais pas que tu allais rentrer ce soir. » parla le noiraud.
« Jason. » elle le coupa brusquement. « Jason, tu es en vie ? Bruce m'avait pourtant dit que... Oh mon Dieu. J'ai cru que tu étais mort, depuis tout ce temps.. »
« Il t'a menti. Bruce m'a remplacé, je n'ai jamais compté pour lui. »
La jeune femme jetait un coup d'œil à la main de Jason, celle dont il s'était servi pour allumer la petite lampe sur la table. Juste au dessous de son avant-bras, reposait une arme à feu. Contrainte, la demoiselle fit mine de rien, et replaçait son attention en direction du noiraud. Lorsque son regard croisa le sien, elle en sentit son cœur se briser et ses tripes finir torturées dans tous les sens. Il avait l'air pitoyable, il avait l'air d'un homme brisé.
« Qu'est-ce qui t'est arrivé, Jason ? Qui t'a fait ça ? »
« Il ne t'a rien dit ? » s'étonna-t-il. « Évidemment qu'il n'a rien dit, pourquoi faire ? » il rit. « C'est le Joker. »
« Le Joker ? » elle répéta. « Le Joker ? »
Jason pointa sa joue droite de son doigt recouvert de son armure. La jeune femme n'eut pas besoin d'y jeter un coup d'œil, le J était tellement imposant et grossier, marqué dans sa chair, qu'elle n'avait pas pu le manquer. Néanmoins, elle ne put résister à la tentation de le dévisager de nouveau et cela manquait de la faire de nouveau pleurer.
« Tout ça, c'est la faute de Bruce. » articula Jason. « Si je suis mort, si j'ai tout perdu, si j'ai été remplacé, si j'ai été oublié, par toi, par lui, par vous tous, c'est par sa faute. »
Une sécheresse douloureuse voyait le jour dans la gorge de la jeune femme, embarrassée et apeurée, elle ne sut trouver les mots afin d'apaiser la rage bouillant au cœur de la poitrine Jason. À la place, elle se contentait de laisser ses larmes rouler à grosses gouttes sur ses joues et ses mains trembler vigoureusement. Elle apportait ses doigts à ses lèvres et couvrait sa bouche avec, les yeux écarquillés avec horreur et la poitrine écrasée par ses poumons, alors qu'elle respirait avec panique.
« Jolie robe, au passage. » balança Jason. « Qui est l'heureux élu ? » demanda-t-il d'une voix tranchante en la toisant.
« Jason. » elle l'avertissait.
« Ouais, c'est mon prénom. »
La demoiselle tendait une main dans sa direction, dans un geste désespéré ᅳavec pour but de s'assurer qu'il était devant elle, que ce n'était pas encore une de ces visions la hantant par pur désir de vengeance provenant de sa propre cervelleᅳ toutefois, elle se pétrifia avec horreur lorsqu'elle vit Jason sursauter. Ce fut léger, à peine visible à l'œil nu, mais elle le remarqua immédiatement. Elle remarqua la façon dont ses yeux s'étaient mis à luire avec terreur, dont ses mains avaient reculé d'un millimètres afin de protéger son visage et celle dont sa lèvre inférieure s'était mise à trembler. La jeune femme s'était arrêtée brusquement, la respiration coupée et peinant à cligner des yeux tant elle était surprise. La pensée qu'il n'était plus le même, qu'il n'était plus le garçon dont elle avait autrefois été éprise, lui brisa le cœur. Il s'arracha de sa propre poitrine, s'effrita et manquait de la tuer.
« Toi aussi, tu m'as oublié. » l'accusa Jason. « Tu m'as remplacé avec cet avocat à la noix pendant que je pensais mourir. Je pensais ne plus jamais te revoir, mais je me suis accroché. Et pourquoi, au final, pour te voir en épouser un autre ? »
Jason serrait le poing. Le cuir de son gant grinçait, il donnait l'impression d'être à deux doigts de céder sous sa force. La jeune femme en déglutit avec embarras. Elle le contemplait, les sourcils froncés et la bouche entrouverte. Tandis que lui, la foudroyait du regard.
« Je ne l'ai pas épousé. » elle se défendait. « Je n'ai pas pu le faire. »
« Félicitation, je suppose. »
« Jason. »
Elle l'observait, le visage mutilé ébloui par la petite lampe posée à une cinquantaine de centimètres de son visage, les reflets orangés peignant joliment son faciès et faisant ainsi s'enflammer l'éclat accusateur dans sa paire de pupilles. Elle dévisageait sa position; son coude déposé sur la petite table, les jambes écartés et son autre bras déposé sur l'accoudoir du fauteuil de cuir. Son poing serré se trouvait juste en dessous de la lampe, ébloui de manière splendide, telle une torche enflammée, prête à crier sa rage et à mettre la lumière sur ce monde injuste et terrifiant.
« Tu es revenu, ne pars plus. Je t'en prie. Ne me quitte plus jamais. » elle murmurait, la voix secouée par des sanglots. « Reste auprès de moi. »
Jason la contempla. Il clignait des yeux et en profitait pour faire glisser son regard sur son entière personne. Quant à la jeune femme, elle restait stoïque, réduite à l'état d'objet sous le regard perçant de cet intrus. Le dit intrus, commençait par détailler la traîne de sa robe de mariée du regard, puis, il remontait sur son corset dévoilant sa sublime taille décorée de dentelle et d'un décolleté en forme de cœur, mettant en valeur la naissance de sa poitrine. Ses mains avaient l'air terriblement douce et élégantes, recouvertes d'une paire de gants en dentelle quelque peu tachées de noir. Sa nuque était dévêtue, et son maquillage, lui, ruiné. Pourtant, Jason ne l'avait jamais autant trouvé aussi sublime. Elle se trouvait face à lui, dans une robe de mariée ruinée, après avoir fui son fiancé, tout ça, parce qu'elle n'arrivait pas à le sortir de sa tête. Et ce, même présumé mort. Tout comme lui : elle n'avait jamais pu tourner la page.
La demoiselle retirait soigneusement ses gants, elle les laissait tomber sur la petite table et avançait de trois pas jusqu'à Jason. Pris par surprise, le noiraud la laissait faire. Il se crispait légèrement, le corps secoué par un sentiment de terreur, apeuré à l'idée d'être heurté, d'attiser sa méprise, son dégoût, sa colère. Il savait qu'elle en aurait été incapable, mais Jason n'était plus le même. Il n'était désormais que l'esclave de ses cauchemars. Il se perdit alors dans ses pensées, déglutissant bruyamment, tandis que la demoiselle arrivait à faire parvenir la paume de sa main sur la joue du garçon.
« Le Joker est mort. Il ne pourra plus jamais te faire de mal. »
Elle camouflait la cicatrice présente sur sa joue dans un geste tendre. Elle caressait sa peau étrangement douce de la sienne légèrement froide. L'espace d'un instant, elle retrouvait le Jason d'autrefois. La peau vierge, cet éclat familier dans le regard et cette atmosphère apaisante présente dans la pièce. Il n'était plus le même, elle en était consciente, malgré tout, le simple fait de le retrouver, ainsi, suffisait à la troubler avec force.
« Est-ce que Bruce sait que tu es ici ? » se risqua-t-elle à demander.
« Bruce n'en a jamais eu rien à faire de moi, peu importe. »
« Oh, Jason, non. Ne dis pas ça, je t'en prie. » elle le coupa. « Bruce était tant bouleversé quand Alfred m'a appris la nouvelle de ta disparition, il en est presque tombé malade. »
Ses traits de visage se durcissaient soudainement. Pris par un sentiment de rage, Jason frappait du poing sur la table en se redressant furieusement sur le fauteuil. La jeune femme en sursautait, terrifiée.
« Ne parle pas de lui comme si tu le connaissais ! Tu ne sais rien. » beugla Jason avec colère. « Tu ne sais pas quel genre de monstre il est en réalité. Tout ça, c'est de sa faute ! De sa faute... »
Jason en avait les larmes aux yeux, la fatigue l'emportait sur lui. Il avait été réduit à néant l'espace d'une année entière, complètement brisé, abandonné à son triste sort face à une créature tout droit sortie des enfers, puis il avait été abandonné par son père, ses frères, amis, et, à la recherche d'une dernière once d'espoir, il avait vu la seule fille qu'il avait jamais aimé, ᅳpresqueᅳ se marier avec un autre que lui, sous ses propres yeux, alors que tout semblait bien aller pour eux, comme si il n'avait jamais existé. Comme si il n'était plus rien. Comme si il n'avait jamais rien été. Jason avait le cœur réduit en miette, le corps recouvert de blessures, à peine apte à tenir debout sans sentir ses tendons gémir de douleur, ses os grincer et sa cervelle tirer des signaux d'alerte. Mais, alors qu'il se tenait devant elle, après tout ce temps à prier, à espérer, à tenir, il se sentait soudainement mieux. Alors, il se calma, regrettant immédiatement d'avoir élever la voix sur elle.
« Tu l'aimais ? »
Jason se raclait la gorge, embarrassé.
« Cet avocat à la noix, » il répétait. « tu l'aimais ? »
La jeune femme essuyait ses larmes et esquissait un petit sourire timide. Elle regardait Jason dans les yeux incapable de détourner le regard alors que le garçon de ses rêves se tenait devant elle. Il était là, assis tranquillement après avoir fait effraction chez elle, à la regarder comme si elle était le plus beau trésor de ce monde, ignorant les saletés sur son visage, son décolleté, ses gants noircis, son collier arraché, son voile abandonné et ses yeux bouffis par le nombre de larmes qui avait tristement parcouru les traits somptueux de son visage. La façon dont il la regardait la laissait bouche bée. C'en était d'une tendresse inouïe.
« Pas une seule seconde. » avoua-t-elle. « Je n'ai jamais pu te sortir de ma tête. »
Et c'était vrai. La triste vérité.
« J'étais persuadée que tu étais mort, la nouvelle venait de ta famille après tout. Mais, contrairement à eux, je n'ai jamais réussi à faire mon deuil. »
Jason sentit son cœur se gonfler de joie. Il en rougissait, comblé de bonheur.
« Cole est gentil, je me suis dis que c'était peut-être ce dont j'avais besoin pour convaincre Bruce que j'allais mieux, pour me convaincre. Mais, une fois devant l'autel, je.. Je sais pas ce qui s'est passé. Je sais juste que ce n'est pas lui que j'aime, c'est toi, Jason. C'est toi dont je suis amoureuse. »
Jason l'écoutait attentivement, apaisé par le son de sa voix. Elle parlait doucement, une pointe de timidité par ici et là tandis qu'elle faisait se noyer son regard dans le sien, incapable de cesser de le contempler.
« Est-ce que... Désolée. Est-ce que je peux te toucher ? »
Jason se contentait de fermer les yeux. Il laissait alors la demoiselle poser son front contre le sien et le serrer doucement dans ses bras. Elle enlaçait sa nuque de son épiderme nu, aidait ses doigts dévêtus à se fondre sur le dos de son crâne recouvert de son armure tandis qu'elle laissait s'échapper un souffle saccadé entre ses lèvres. Elle collait son décolleté à son torse, fléchissait les genoux sur ses haut talons aiguilles. Le contact physique engagé la rendit faible, elle manquait de s'en évanouir. L'odeur de Jason restait quelque peu similaire à celle qu'il avait toujours eu, néanmoins, celle-ci avait un côté un peu plus métallique, un peu moins artificielle. Ses yeux la brûlait à force de pleurer, et pourtant, elle continuait de sentir des larmes lui tremper les joues. Les mains de Jason trouvaient rapidement sa taille, il s'y agrippait, plantant ses doigts sur le tissu reposant sur ses hanches. Sa mâchoire se contractait durement, il grinçait des dents.
« Jason, tu m'as tellement manqué. »
La jeune femme embrassait la pointe de son nez, sa joue gauche puis celle de droite. Elle sentait Jason se raidir, cependant il restait muet, alors elle poursuivit jusqu'à déposer un tendre baiser sur sa paire de lèvres. Ensuite, elle se reculait et croisait son regard.
« Plus rien ne nous séparera maintenant, hein ? » demanda-t-elle.
Jason attrapait sa main, il entremêlait leurs doigts ensemble et lui sourit. Elle n'avait pas hésité, à sa grande surprise : elle voulait encore de lui, elle acceptait sa présence. Elle avait jeté la seule chance qu'elle avait eu de tourner la page ᅳse marier avec un autreᅳ pour le ramasser à la petite cuillère, sans hésiter l'espace d'un seul instant. Il en restait bouche bée.
« Je te le promets. » il répondait.
Jason serrait fermement sa main dans la sienne, le cœur gonflé d'amour et la tête dans les nuages.
« J'ai juste besoin d'un peu de temps avant. »
« Hein ? Pourquoi ça ? »
Jason grimaçait.
« Bruce et moi avons un compte à régler, je dois me préparer. Ça ne prendra que quelques semaines, mais ne t'en fais pas, je serai de retour. Je te le jure. »
« Quoi. »
Tandis que son sourire se fanait, la jeune femme le foudroyait du regard.
« Jason, tu repars ? »
« Le temps de régler cette histoire. » acquiesçait le garçon. « Après ça, je pourrai enfin tourner la page. »
C'était faux, mais Jason en était malheureusement persuadé. Il pensait que si Bruce Wayne disparaissait, si Batman échouait, alors cela lui rendrait justice, cela effacerait les horreurs que le Joker lui avait fait subir pendant cette monstrueuse année. Comme si ces cauchemars disparaîtraient, ces cicatrices se fondraient dans sa chair, jusqu'à en devenir invisibles, comme si plus rien ne s'était passé. Jason voulait le punir car, à ses yeux, Bruce était le seul et unique responsable de ce qui lui était arrivé. Il était celui qui n'avait pas été capable de le protéger, celui qui l'avait abandonné et remplacé. Celui qui lui avait tout offert, pour tout lui reprendre, et lui voler ce qui faisait de lui Jason Todd. Pour l'instant, il était incapable de vivre et ce, même avec elle, même à ses côtés. Peu importait combien elle le rassurait, l'apaisait, Jason était désormais un homme de vengeance, et il ne s'arrêterait pas avant d'avoir rendu justice.
« Je reviendrai te chercher. »
Jason se relevait, il surplombait la demoiselle et relâchait sa main.
« Maintenant que je sais que tu ne m'as pas oublié, que toi aussi tu as été manipulée par Bruce, je vais m'assurer que plus rien ne pourra nous séparer. » affirma-t-il.
La jeune femme fronçait les sourcils.
« Jason, je ne comprends pas. » elle avouait.
« Tu n'as pas besoin de comprendre. » il répliquait. « Contente toi de me faire confiance. »
« Je te fais confiance. C'est juste que... la façon dont tu parles m'inquiète. »
« Je sais. Je suis désolé »
Jason inspirait profondément puis, il expirait doucement. De son regard fatigué et troublé, il contemplait la jeune femme, il attrapait ensuite son visage en coupe, de ses deux mains, approchait son visage du sien, jusqu'à ce que leur nez se touche et finalement il lui offrait un petit sourire timide. Elle en sentit ses oreilles se réchauffer tandis qu'il imprégnait les traits de son visage dans son esprit et humait délicatement son odeur, déjà rendu ivre par celle-ci. Quelques minutes plus tard, Jason se sépara d'elle et détourna le regard.
« Je dois y aller. »
La demoiselle suivait son regard, il était rivé en direction de l'horloge, signe qu'il était sûrement déjà attendu quelque part. Jason semblait soudainement nerveux.
« Déjà ? » s'étonna la jeune femme. « Mais, je viens à peine de te retrouver ! Et puis, quand est-ce que tu comptes revenir ? Je ne veux pas attendre. J"ai tellement eu peur de te perdre, je veux rester avec toi, pour toujours etᅳ »
D'un geste rapide, net et précis, Jason avait attrapé le menton de la demoiselle entre ses fins doigts habillés. Puis, il l'avait coupé en déposant ses lèvres sur les siennes. Il lui avait volé un baiser tout en passant son bras autour de sa taille afin de la plaquer contre son torse. La demoiselle n'avait pas tardé à sentir ses yeux s'écarquiller avant de finalement se laisser aller et de répondre au baiser du garçon. Elle l'embrassait en retour, glissant ses paumes de mains sur ses joues et souriant grandement, le cœur battant à vive allure et la tête noyée dans les nuages. Les deux jeunes adultes vinrent partager un baiser amoureux. Il était d'une délicatesse et tendresse sans nom. L'un recouvert de métal, mutilé et épuisé par le temps, et l'autre vêtue de blanc, l'air tout droit sortie d'un compte de fée, si l'on en oubliait son maquillage ruiné, son nez bouché et ses yeux bouffis. Ils étaient là, enlacés l'un contre l'autre, le cœur battant à vive allure et leur âme finalement apaisées.
Le baiser aurait pu durer encore plus longtemps, il aurait pu s'éterniser jusqu'à se conclure dans un échange charnel, peau contre peau, larmes de joie échangées et bues à travers des baisers enflammés, langoureux, baveux, et finalement dans les bras de Morphée. Toutefois, le tout fut brusquement coupé lorsqu'on toqua à la porte d'entrée. Quelqu'un venait d'y donner quelques coups, attirant immédiatement l'attention de Jason et de sa bien-aimée. Le silence retombait soudainement dans la pièce principale de l'appartement.
« Qui est là ? » cria la demoiselle, tirée de son état d'euphorie.
« C'est moi, Dick. » déclara Grayson à travers la porte d'entrée. « J'ai fait un détour pour nous prendre de quoi manger, tu m'ouvres ? »
« Oh, euh, oui. C'est vrai, mince. »
La demoiselle glissait une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Elle faisait nerveusement parcourir son regard sur la pièce, tout sauf sur Jason alors qu'elle se demandait comment elle pourrait le faire sortir d'ici sans attirer l'attention.
« Ça te dérange de me donner deux petites secondes ? »
Sans lui laisser le temps de répondre, la jeune femme se tournait en direction du noiraud. Déjà prête à lui hurler de se cacher dans sa chambre, elle ne sut quoi dire lorsque, à la place de Jason, ne se trouva que le néant. Rien, ni personne. Il n'était plus là. Bouche bée, la demoiselle observait les alentours, persuadée qu'il n'avait pas pu se volatiliser comme ça, en un clin d'œil. Et pourtant c'était le cas. C'était à se demander si il avait vraiment été présent, si elle ne l'avait pas de nouveau inventé dans le seul but de se rassurer, de trouver réconfort auprès d'une agréable illusion, d'un séduisant mirage. Son odeur persistait dans la pièce, mais elle aurait tout aussi bien pu l'imaginer. Finalement, tandis que Dick commençait à s'impatienter derrière la porte, terriblement inquiet par tout ce silence, la jeune femme se contentait de sourire. Elle se frottait les yeux, épuisées et ses paupières la démangeant terriblement.
Et alors qu'elle se tournait en direction de sa porte d'entrée ᅳquelque peu agacée par l'insistance dont faisait preuve son amiᅳ, à une trentaine de mètres de là, elle saisissait la jolie rose abandonnée sur la table proche de la bibliothèque, juste en dessous de sa paire de gants, et finissait par aller rejoindre Grayson. Elle y trottinait, le cœur gonflé d'amour et les pensées divaguant vers un seul et même garçon. Le seul et l'unique : Jason Todd.

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